Originaire du quartier Les Pyramides d’Evry, il se forge une personnalité à fort caractère depuis sa tendre enfance en lien direct avec les méandres d’une vie mouvementée en émotions.
Il perdra sa mère à l’âge de 5 ans.
Son éducation se poursuit alors entre les familles d’accueil et les foyers.

Rongé de l’intérieur, Cortex commence d’abord à s’intéresser au rap gore dès 1995, la petite scène de quartier avec ses amis lui permettra d’extérioriser sa rage dans les textes et de dénoncer l’injustice dont il est témoin.
Fort de sa conscience, de nature franche et brut, il a la particularité de dire tout haut ce que les gens disent tout bas souvent par crainte de représailles.
Cortex ne craint donc personne mais préfère jouer ouvertement la carte du bon sens.
Dans ses textes il provoque et divulgue un message alertant ayant pour but d’éveiller les consciences victimes de la société Française.
A ce jour, il reste celui qu’on nomme « le rappeur le plus Hardcore de France ». Soutenu par sa seule famille, la plus grande et la plus digne, celle de la rue.
Il représente un mouvement bien vivant trop souvent mis à l’écart mais réel, prêt à se battre pour faire valoir sa juste cause.
Cortex revendique le partage et l’acceptation d’autrui en 2006 lors de la sortie de son premier album « The destructeur »
Cette œuvre a été écoulé de main à la main, dans le concept « Street Album » dans toutes les banlieues Parisiennes.
Durant la même année naîtra un clip vidéo « Qui fait mieux qu’ça ».
Les FNAC d’Evry et de Chatelet les Halles seront les premiers distributeurs du rappeur.

En 2008, c’est la révélation, il se fait connaître et s’associe avec des rappeurs et collectifs confirmés tels que Sir Doums, Skaner,
Smoker, Joe Dalton, Mafia K’1 Fry, Faouzi Attentat, Alkapote, Morsay, Missah, etc…

En 2009, ces connaissances lui permettront de faire évoluer son personnage et d’apprendre à divulguer son art dans l’album « Instinct Meurtrier », celui-ci reflète le caractère engagé de Cortex qui va aussi tourner un clip intitulé « Hella », les projets s’enchaînent et se propagent, avec « Gangster pour de vrai » ou encore « On baisse pas les bras » et le fameux clip « les indestructibles ».

Toutes ses œuvres ont nécessité beaucoup de déplacements et d’aventures à la conquête du professionnalisme.
Pour élargir sa popularité, Cortex décide de lancer une gamme vestimentaire « Gangster2Tess », cette marque lui permettra aussi de rendre hommage à ses fans.

En 2010, Cortex est plus déterminé que jamais. Il sort son titre « Cash Club »
Il veut prouver aux hommes qu’il existe encore une fraternité entre les différentes classes artistiques,r&b ou encore techno.
Il confirme son idée en collaborant avec des artistes blancs tout aussi motivés que lui dans la lutte contre le racisme.
Cette bataille étant vieille de la nuit des temps, il songe a mener son combat d’une manière très contemporaine et différente.
L’acharnement du Front National à son égard, lui fait comprendre que les hommes sont de plus en plus vicieux et en soif de conflits. Il comparera donc ce qui est à la mode et avec culot décidera de faire ses « Clash » sur Youtube en insultant, dénonçant, menaçant, tout pour faire parler de lui à la manière des stars du web.

Son prochain single issu de cette philosophie s’appellera « Star du Web », un clin d’œil aux médias de la télé-réalité qui utilisent la même méthode, mais avec d’autres mots plus convenables pour le grand public.

Il contacte alors Rémy Deroche, producteur et DJ Electro House, et lui propose de remixer ce titre pour toucher au vif une autre clientèle de jeunes plus éloignés de la galère.
Ils prévoient ensemble de créer un buzz médiatique.Le rappeur Cortex est en train de créer le buzz, mais il risque de le regretter rapidement